.: Ezekiel :.

Nom: von Holzhueter. [Pr.: Vonne R'hol-sou-hé-teurre]
Prénom: Ezekiel-Elohim, mais ce dernier n'est presque jamais employé. [Pr.: É-zé-ki-el El-o-r'him]
Surnoms: Eze, Zeze –bien que rarement utilisé ^^;

Âge: 16 ans.
Date de naissance: 13 décembre.
Mesures: Poids: 54 kilos [118 lbs]. Taille: 1,70 m [5'5"].
Sexe: Masculin.

Origines: Allemando-Anglo-Japonaises.
Langues Parlées: Allemand, Anglais, Français.
Pays natal: Angleterre.
Ville natale: Londres.
Nationalité: Anglo-Nippo-Schleu ^^;
Lieu de résidence: Il a une luxurieuse propriété au Japon, un grand domaine en Angleterre, et un manoir gigantesque en Allemagne. Enfin, il les aura quand son père mourra, ce qui ne saurait tarder… Pour l'instant, il vit au manoir familial, à Londres, mais reste en pensionnaire à Galdinnor.


Famille: Marcus von Holzhueter, allemand, cinquante ans; Elizbeth Yamimasa, anglo-japonaise, quarante-trois ans. Yulia-Kaprizia, la petite soeur d'Ezekiel, morte à l'âge de cinq ans, tuée par son propre frère

Physique: La lisse et soyeuse chevelure de l'adolescent semble avoir tiré tous ses éclats du noir plumage du corbeau dans le clair de Lune, semblant dépeindre l'angoissante obscurité de la nuit. Ses mèches rebelles, cachant parfois son visage, trouvent souvent refuge au creu de sa nuque. Le jeune homme a prit l'habitude de les porter ainsi, les laissant couler dans son dos, estimant que, de ce fait, il se verrait plus disposé à scruter les visages, ses yeux beaucoup plus camouflés et une capuche qu'il se plait à porter.

Sous quelques mèches dispersées sur son front, il n'est pas rare de se figer face à des yeux adoptant les lueurs rougeâtres d'un regard plus transpercant et glacial qu'original. Pétillants à la lueur de la plus insignifiante des bougies, ils recèlent l'éclat du sang frais, et il n'est là que l'héritage des von Holzhueter. De longs cils noirs se recourbent sous des sourcils courbes, soulignant la paleur d'un teint qui ne virera plus, même soumit sous le plus ardent des soleil. Assignant d'avantage le rang de la noblesse à l'héritier des von Holzueter: un teint blafard à la paleur cadavérique. Un nez fin surmonte une bouche peinte d'un rouge contrastant nettement avec son visage. Des lèvres pleines donnent une touche plus sensuelle à son visage.

Une carrure frêle et pâle le plus souvent drappée de rouge, de noir, dans d'élégants costumes aux étoffes d'Europe, riches en dentelles, soie et satin, ou de simple tenues de cuir ou de coton, telle une veste et un pantalon, ou encore quelques robes, quand il lui prend la lubie de s'habiller en poupée… Avec ceux-ci –robes et vêtements 'normaux'–, le demoiseau se plait à porter ses bottes de cuir noires, montant jusqu'aux genoux, et claquant de talons pour annoncer son arrivée…

Caractère: Les uns le croit habité par la folie. Peut-être est-ce bien le cas, ou se plait-il à le faire croire. Quoi qu'il en soit, il en joue et sait faire jouer ce que l'on pourrait considérer comme un handicap en sa faveur. Jouant également du côté attractif de son physique, privilégiant un corps de jeune homme plutôt attirant, ce démon séduit et rejette, attise et attire, pour déchirer ensuite. Ses relations avec les autres ne sont durables que lorsqu'il y trouve un quelconque interêt. Une compagne, ou même un compagnon, dans sa logique, doit: soit savoir l'aimer, sentiment pouvant être poussé jusqu'à l'idolâtrie; soit vouloir le prendre n'importe où n'importe quand; soit le détester, le craindre, le mépriser et ne pas chercher son contact. Toutes personnes n'entrant pas dans l'une de ces trois catégories se verront réduites à être ignorées, ou plus révoquablement blessées par ses mots. L'adolescent n'est pas enclin aux coups dès la première altercation…

Il peut se montrer d'une sagesse inouïe, et presque acceuillant. Tout comme il peut se montrer hystérique [je ne connais pas le terme équivalent pour les mecs…^^;;], à rire gorge déployée, à hurler exagèrement aiguë sans raisons apparentes, ou à griffer ses bras en se délectant d'en voir couler le sang. Il est là le côté de sa personnalité qui le font passer pour fou. Et non pas sans raisons… Cependant, il a un certain charisme qui lui font attirer la confiance des autres, qui les font venir à lui. Ce n'est certes pas pour lui déplaire, puisqu'il aime bien être le centre d'attention des autres, mais il n'apprécie pas trop de devoir s'encombrer de cloportes, c'est d'ailleurs pourquoi vous en verez sûrement quelques uns se faire envoyer paître devant tout le monde par Ezekiel.

Le jeune homme aime à se perdre à jouer du piano, de la flûte, de l'orgue, instruments qu'il se plaisait à jouer dans sa demeure familiale avant d'être séparé de tous liens avec la musique, chez son parrain. A son école, ces instuments à sa disposition, il aimait à se rendre dans la nuit à la salle de musique pour interpréter les morceaux qui sauraient exprimer ses sentiments. Airs morbides et plus que tristes, oui, mais qui savaient l'apaiser au contact de la première note d'ivoire.

Signe particulier: Tout d'abord, son 'look' de fils de riches délinquant. Ensuite, quand on peut l'appercevoir torse nu, on peut admirer un tatouage rouge sang sur sa poitrine, représentant une superbe rose de laquelle une goutte de ce délectable liquide vital tombe. Et si vous pouviez la voir d'encore plus près, vous pourriez vous rendre compte que ce mmagnifique tatouage a dû prendre quelques heures à être fait, au nombre de détails apparants. N'oublions pas non plus son teint cadavérique, et le fait qu'il boîte de la jambe gauche, à cause de son père… Et finalement sa légère folie cahée, révélée dans quelques moments où il peut se retrouver seul, l'auto-mutilation tant le plus fréquent de ses symptômes.

( Mon message était trop long... )

Histoire:

~— Discussion Psy / Ezekiel-Elohim —
"Hier, je suis allé au zoo avec ma petite soeur."
"Très bien, ça. Et qu'y as-tu fais ?"
"Je suis allé nourrir les tigres…"
"Très bien, ça. Et où étais ta soeur ?"
"En bas, avec les tigres…"
"Uh… Que veux-tu dire ?"
"Je l'y ait jeté… Il n'y avait plus de cacahuètes…"


-BAM-

Dix années auparavant, une heure du matin, des cris. Marcus von Holzhueter patiente dans son salon, confortablement installé dans son fauteuil, les mains croisées tandis que, dans la chambre voisine, Elizbet, son épouse, a toutes les peines du monde pour mettre au monde son premier enfant. Les cris déchirants ne semblent pas donner l'envie à leur premier fils d'en pousser un à son tour, et semble d'avantage vouloir rester dans le ventre de cette vipère aux cris infernaux. Si les sons à l'extérieur sont plus rapidement repercutés, et à un volume plus fort... Ezekiel-Elohim ne souhaite pas voir le jour. Quelques heures pénibles pour qu'enfin l'enfant se décide à naître, non pas sans compliquations cependant. Le cordon autour du coup, et une paleur cadavérique, on croit le petit mort né. Ce ne sont que la reprise des plaintes plus stridentes de sa mère et une claque sur les fesses qui arracheront le premier cri à son fils, une fois son cou dégagé. L'aide soignante, une fois son travail achevé, s'en va prevenir le père du nouveau né, des couvertures en mains, une petite main tendue dans l'espoir de pouvoir nicher ses doigts dans une étreinte de son père. On montre l'enfant à son géniteur.

"Ma fille… ton entrée dans la lignée des von Holzhueter n'aura pas été de tout repos." approchant sa main de celle de l'enfant, il adresse un large sourire à son héritière. Genée, l'infirmière découvre un peu plus l'enfant de sa couverture, toussotant.
"Monsieur… Voici Ezekiel-Elohim, votre fils…" Sursaut…

Le père repose un regard plus dur et recule sa main. Il se détourne. L'enfant garde sa main tendue encore quelques secondes, dans l'espoir d'y sentir le contact de l'homme à la voix si rude. Il la reposera sur son côté, pour fermer les yeux.

L'enfant évolue dans le cadre prestigieux et isolé des heritiers von Holzhueter, famille de sang pur, agents de ministère, cultivant un goût certain pour le chic. La demeure se trouve au bord d'une falaise, offrant à l'oeil une plage aride bordée de rochers où la mer vient se briser. Tenue, respect et discipline. Trois mots d'ordre à respecter pour tenir une place dans la lignée. L'éducation se fait stricte, l'apprentissage des manières, rigoureux. Les enfants sont parés de mille trésors pour faire valoir les mérites de la famille à laquelle ils appartiennent. Bien plus considérés comme des trophées héritiers que comme des chérubins. Mais si pour les jeunes filles s'intégrer reste difficile, les jeunes garçons ont le plus souvent bien plus de difficultés à s'immiscer dans le cercle fermé, le plus souvent poussés par leurs mères. Une femme n'est pas considérée comme fiable pour les affaires, ainsi la naissance d'une fille au sein de la famille n'attire jamais les sourires, mais l'homme se devant d'être quelqu'un sur qui compter en tout temps, il a à peine droit aux regards les plus noirs.

C'est dans cet univers que grandit Ezekiel-Elohim.

Son éducation se parfait à l'aide d'un instructeur sénile que le tout jeune enfant se fait un plaisir de rabrouer à chaque instant. Le petit ne fait pas preuve du commun sérieux des petits bourges, souhaitant ainsi attirer un oeil plus admiratif sur lui par son père. Le malheureux… Il ne le rend que plus dur encore… Blessé par l'indifférence d'un père, blasée par l'attitude trop leste et affective d'une mère, Ezekiel ne trouve refuge que dans les misères continuelles infligées contre ses domestiques, qui savent le faire sourire. Car déjà développe-t-il des connaissances en la magie, et fait la découverte de ses dons en la matière.

Le jeune héritier a 5 ans. Et tout n'ira pas en s'arrageant.

Près d'un an plus tard, une nouvelle grossesse. Le visage de sa mère fait présence du plus pâle des teints. Nul n'est sans savoir que la mise au monde d'un garçon n'a pas été sans conséquences. Deux jours après la naissance du premier enfant, on prétextera une mauvaise chute de son lit pour expliquer les marques sur son corps… Les mois passent, et l'heure du verdict approche. De nouveau des cris, moins stridents, plus rauques, et ceux d'un enfant. Une petite fille, qui se nommera Yulia-Kaprizia. Ezekiel, curieux enfant de six ans, s'approchera de sa mère pour toucher le nouveau né, une expression dégoutée à la vue du visage diforme, que le nouveau-né gardera tout le long de sa courte vie. Mais entre alors son père, qui le repousse avec violence contre le mur de la chambre, pour pouvoir enlacer le petit être déformé, sous l'oeil soulagé de sa mère, et celui, meurtri et blessé, de son fils.

Exclu, isolé.. Cette naissance est une malédiction. Cette enfant est une malédiction. Fille du diable, une horreur née. Ses traits sont boursouflés, son regard vide d'expression, ses yeux: ni bleu, ni marron, ni vert, une succube. Une succube prise pour unique héritière par un père qui oubliera totalement la présence de ce premier enfant, synonyme pour lui de déception. Il refusera de mettre les deux enfants dans une même chambre, de les faire diner ensemble, étudier ensemble. Aucuns contacts. Fuyons la peste. Seule la mère d'Elohim vient lui conter des histoires, l'hypocrite, tandis que le petit gardera, à chaque lecture, son regard fixé au mur, le yeux vides, les poings serrés. Tous des chiens, tous des damnés.

Ils paieraient tous.

A ses dix ans, la mère du fiston parvient enfin à convaincre son mari de laisser les enfants partager un après-midi ensemble, et les emmène au zoo. Aucunes paroles, un silence macabre. Le frère… et sa soeur. Quatre ans. Emerveillée de voir les animaux et ravi de pouvoir partager son temps avec un frère qu'elle ne croise que peu régulièrement, sans pouvoir l'approcher. La petite souhaite toucher sa main, elle souhaite l'étreindre, lui parler. Il la repousse, la soumet à ses piques continuels, dans le creux de l'oreille quand ses parents sont tournés.

"Sais-tu pourquoi ce singe applaudit ? C'est lui le spectateur, et tu es l'animal que l'on dispose en cage dans un cirque. Monstre... Venez admirer, la monstruosité von Holzhueter !"

"Ils rient tous en observant ton visage, se réjouissent de pouvoir se moquer d'un être si diforme que toi. La célébrité du zoo ! Tu fais honte à notre famille… Vois, même les lions se moquent."

"Tu fais ombrage à leur majesté…"

Et lorsqu'elle pleure, son frère rit à gorge déployée, sans se soustraire aux coups de son père, qui ne le font rire que plus encore. Pure folie. Feignant de vouloir se faire pardonner, il proposera de l'emmener voir les félins tandis que ses parents iraient leur acheter une glace. La mère ravie entraine un père qui se soustrait aux volontés de sa femme, l'oeil soupçonneux. Mais sa fille présentait une mine tellement ravie. Comment se soustraire au regard implorant d'un enfant ? Le frère emmène la soeur, sachet de cacahuètes en main, vers la fosse aux tigres…

… un sourire imperceptible aux lèvres.

La suite nous ramène aux premières lignes… ~

On feint l'incident, on n'entache pas la réputation de la famille… Pourtant, chacun sait… La famille von Holzhueter semble plongée dans la folie. La mère pleure et dit voir sa fille à chaque tournant, le père assène de coups. Le petit jubile, il ne saura que rire éxagérement à chaque coups portés sur lui. Il ne sera qu'un juge pour séparer le trio, après que Marcus von Holzhueter ait tapé si violement son fils qu'il ne puisse plus jamais utiliser sa jambe gauche correctement. Il se verra confié à son parrain. Il boitera toute sa vie.

Un homme qui s'isola complètement du reste de sa famille pour trouver la paix au nord du pays. Il receuillera l'enfant dans l'indifférence la plus complète, s'évertuant seulement à le nourrir sans jamais véritablement tenir lieu de conversations avec lui. Il le croit habité par la folie, par le Démon, et l'enverra le plus clair de son temps consulter des psychologues, tous aussi impuissants les uns que les autres. La plupart des consultations se terminaient plus ou moins de cette façon, tandis que les derniers mots de son père résonnaient en écho à chaque scéances.

— Discussion Ezekiel-Elohim / Psy —
"Pathétique... tu ne sauras en rien apaiser la situation."
"Un manque de volonté certain pour arranger votre cas, Ezekiel..."
"Je n'ai aucuns regrets. Mais parlez toujours… Le temps passe et le prix de ma consultation augmente…"
" ... "


A onze ans, Elohim reçoit sa lettre et part sans autres formes de procès à une école de sorcellerie non-loin de chez lui, fuyant par la même occasion ses scéances. Il y passera ses six premières années à étudier, ne s'attirant en rien la compagnie des autres, et passant le plus clair de son temps à marcher dans les dédales des couloirs pour assister aux scènes quotidiennes, se forgeant son propre avis sur les autres, omettant seulement de leur parler. Il est maintenant inviter en première année à Galdinnor. Comme il doit fuir le pays, il accepte... Mais qui saurait se lier d'amitié avec lui ?

Lui, la peste, le meurtrier de sa propre soeur, le cadavre boiteux…

Familier: Un corbeau

Il n'y a qu'un certain problème... le fait que tu aies fait 6 années ailleurs... donc le fait que en arrivant ici tu n'aiesque 5 sorts de première anné maximum...

Et bien, on n'a qu'à dire qu'il n'allait pas réellement à ces cours, et qu'il ne portait pas attention donc, il ne connaît pas vraiment ses sorts...

tune te serais jamais rendu en 6e...

avec de l'argent, on se rend où on veut... non?

oki...

C'est bien parce que je suis italien que je comprend vraiment ta phrase...

tu veux mon adresse?

tu l'as déja, crois-moi Je te ferais signe sur msn, pour que mon identité reste un tantinet secrete

accepté